Une méthode efficace
SIRCO offre à ses clients un ensemble de services dont la filature fait partie intégrante. Qu’il s’agisse de membres en règle du crime organisé ou de cas pour des dossiers de CSST, nos agents ont effectué des filatures dans plus de 3000 dossiers au fil des ans. Nos enquêteurs sont spécialistes en mode statique ou en mouvement (footman). Ils connaissent tous les aléas de l’enregistrement audio et vidéo, et savent prendre des notes des conversations qu’ils interceptent.
Le responsable du service de filature s’assure d’élaborer avec le client les méthodes et les objectifs du dossier de filature. C’est lui qui supervise les agents lors de l’exécution du mandat et qui agit comme liaison avec le client. Des comptes rendus du déroulement de l’opération peuvent être faits aussi souvent que nécessaire. Finalement, il s’assure de la qualité des rapports qui seront transmis au client et nos agents sont préparés avant leur témoignage en cour. SIRCO connaît les lois et règlements applicables et voit à ce que l’ensemble de son personnel respecte le cadre légal en vigueur.
Les outils technologiques à la disposition de nos enquêteurs lors de la filature : walkie-talkie crypté, système de localisation, GPS grade militaire, caméras numériques, caméras cachées, caméras vidéo numériques, enregistrement vocal, lentilles longue portée, lentilles de nuit, etc. Tous les enquêteurs sont équipés d’un téléphone cellulaire. Les enquêteurs en filature utilisent également une radio cryptée (appareils de base et portatifs) ayant une portée de deux à quatre kilomètres.
Mise en garde concernant la légalité de la surveillance
Les tribunaux d’arbitrage ont établi la portée et les limites de la surveillance d’un employé :
- La décision de faire surveiller un employé ne doit pas être arbitraire et n’est jamais prise au hasard.
- L’employeur doit préalablement avoir des motifs raisonnables pour faire surveiller son employé (rumeurs dans l’entreprise, dénonciation, etc.).
- Ceux-ci ne peuvent pas surgir a posteriori, c’est-à-dire à la suite des résultats de la surveillance.
- La mesure est proportionnelle à la gravité objective de l’inconduite.
- L’employeur doit avoir utilisé d’autres moyens et tenté d’obtenir des explications de l’employé.