Fraude : acte impliquant le recours à une supercherie pour obtenir un avantage injustifié ou illégal
La fraude informatique se définit comme un délit qui consiste à utiliser ou à falsifier des données stockées, en traitement ou en transit, afin d’en retirer des avantages personnels ou des gains financiers.1
Quelques statistiques
Des études récentes confirment que, depuis 1999, plus de 90 % des documents sont produits en format numérique.
Une étude révèle que les plus petites organisations comptant moins de 100 employés représentent 42,2 % des victimes de fraude et de vol, dont 38,2 % dans le secteur privé et 23,6 % dans le secteur public. Le montant médian des pertes liées à la fraude s’élève à 150 000 $. Ceci peut être attribué à un contrôle moins serré de la fraude interne en raison de ressources limitées.2
Les fraudes en milieu de travail sont commises par tous les niveaux d’employés dans une organisation; 42 % ont été commises par des employés, 38,6 % par des gestionnaires, 19,3 % par les propriétaires ou les cadres. Ces derniers commettent en général les fraudes de plus grande envergure, avec un montant médian de pertes plus élevé (environ 1 million $).2
La collecte de preuves informatiques est une opération complexe, puisque ce type spécifique de preuve peut se retrouver aussi dans les périphériques. Les experts de SIRCO peuvent récupérer et analyser des données de disques durs, CD-ROM, mémoires flash, cellulaires, assistants personnels numériques (PDA), imprimantes, télécopieurs ainsi que plusieurs autres médias de stockage magnétique, malgré le fait que les données aient été effacées. En outre, en raison de la facilité avec laquelle on peut manipuler les données informatiques, si la recherche et l’analyse ne sont pas effectuées par un enquêteur certifié, la preuve recueillie pourrait ne pas respecter les critères exigés par les tribunaux et être rejetée.
C’est pourquoi vous devriez faire confiance à SIRCO.
1. Source : Grand dictionnaire terminologique
2. Source : www.backcheck.net/fr/statistiques.htm